Pu*** Pierrick !!
Tu voulais 1 big up?
Here it is !!
J'ai émis une théorie selon laquelle dans tout bon voyage, il y a une soirée de la loose. J'ai vécu la mienne mardi soir, je devrais donc être tranquille par la suite ;)
Note : je suis une professionnelle, n'essayez pas de reproduire ça chez vous, c'est bête.
Donc pour commencer je tiens à faire observer que je suis une amie fidèle qui rend visite à ses amis du 43 Willis street fréquemment : about 20 minutes by bus. Right. It was so fun, I laughed a lot. Then around midnight I decided to leave.
What a bad idea.
Car le fameux bus 393 de 00:22 dont m'a tant parlé Pierrick n'existe pas ! Anyway....
Ma première erreur fut d'imaginer qu'un bus se dirigeant vers le même terminus via la même étape que celui que je devais prendre allait s'arrêter aux mêmes arrêts.
Restant assez consciente de mon trajet en terres inconnues, j'étais sur le qui-vive et imaginais (naïvement) que je pourrais m'arrêter au moment de la potentielle bifurcation. Bien sûr, celle-ci arriva : c'eût été trop facile si le bus avait été au bon endroit....
Je compris alors que mon acharnement sur le bouton d'arrêt était complètement inutile. Il fallait se rendre à l'évidence : il ne marchait pas. WHAT THE FUCK ?! Ma traversée vers l'avant du bus pour questionner le chauffeur fut parsemée d'agréables sueurs froides. Et comme si cela ne suffisait pas, cet homme, sûrement très sympathique mais qui le cachait très bien, fit en sorte qu'aucun des deux partis ne puisse comprendre l'autre....
Vu de l'extérieur, notre échange devait ressembler à celui de 2 perroquets.
Il ma finalement laissée descendre accompagnée de ses charmantes salutations (fucking frenchies et autres noms d'oiseaux.) So kind. Bien sûr nous avions déjà parcouru 3 bons kilomètres depuis ma vaine tentative de stopper le bus.
Voilà, je devais donc entamer le chemin du retour aux alentours de minuit, à pieds, aux abords d'un parc, en Australie.
Comme pour la plupart d'entre vous qui lisez ces lignes, je ne me rendais pas bien compte de ce que cela pouvait bien signifier. Aujourd'hui, je suis avertie mais je ne parle pas des serial killers. Non.
Je parle seulement DE CES ÉNORMES BÊTES POILUES VOLANTES ET FLIPPANTES QUI CRIAIENT ET FAISAIENT TOMBER DES ARAIGNÉES PLUS GROSSES QUE MA MAIN SUR MA TÊTE.
Ceci n'est pas une blague. Les chauves souris d'ici doivent bien mesurer 50 cm d'envergure. C'est illicite comme dirait Ju. Elles sont horribles.
L'unique point positif de cette soirée restera sans nul doute mon temps de parcours sur les 4 km qu'il me restait à pied. 20 minutes. Soit 12km/h. Ce qui est bon pour ma reprise sportive imminente. Je crois.
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